TY - JOUR AB - <p>Cet article a pour but d'introduire le lecteur à quelques aspects fondamentaux<br>de la théorie esthétique du XVIIIe siècle en France en prenant pour point de<br>départ l'engouement que connaît le mythe de Pygmalion à cette période.<br>Après avoir distillé quelques notions clés de l'esthétique classique en partant<br>de l'analyse du texte d'Ovide, cette étude s'attache à examiner plus particulièrement<br>la question de l'illusion de l'art. Au XVIIIe siècle, celle-ci est comprise<br>comme une approche consciente de l'oeuvre d'art comme mimèsis. En effet,<br>le plaisir de l'expérience esthétique repose sur l'effet d'expression de l'oeuvre<br>et non pas sur l'illusion qu'elle fait aux sens du spectateur. Autrement dit, l'art<br>n'est pas un trompe-l'oeil mais une prouesse technique que les règles de l' art<br>sont impuissantes à saisir.</p> AU - Nathalie Kremer DA - 2007/1// DO - 10.21825/kzm.v61i0.17408 IS - 0 VL - 61 PB - Koninklijke Zuid-Nederlandse Maatschappij voor Taal- en Letterkunde en Geschiedenis PY - 2007 TI - De illusie van het kunstwerk als Pygmalion-effect in de esthetica van de achttiende eeuw T2 - Handelingen - Koninklijke Zuid-Nederlandse maatschappij voor taal- en letterkunde en geschiedenis UR - https://openjournals.ugent.be/kzm/article/id/72127/ ER -